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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans plus de 100 pays. L’OIM est présente en République Démocratique du Congo depuis 1994.
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OIM Global
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable. En RDC, l'OIM gère une grande variété d’actions qui touchent à tous les aspects des mouvements migratoires et de la protection des migrants et des déplacés internes.
Ce que nous faisons
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Priorités transversales (globales)
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L’OIM appuie la cartographie des zones minières affectées par des conflits à Kindu et Kalemie
Dans le contexte de l’appui au processus et aux initiatives de Paix dans les provinces de l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), l’OIM a réuni à Kalemie (Province du Tanganyika) et à Kindu (Province Maniema), les acteurs clés du secteur minier afin de mettre à jour la cartographie des zones minières affectées par des conflits armés.
L’initiative réalisée en septembre 2024 visait à actualiser les données relatives aux causes profondes des conflits autour des sites miniers, en dresser un arbre à problème pour comprendre la dynamique et proposer des issues et voies de pacification. Conduits par les experts du Secrétariat Technique pour le suivi de la feuille de route du processus de Paix, ces ateliers de deux jours par zones ont réuni au total 48 acteurs étatiques (Ministère provinciaux et divisions provinciales) et paraétatiques œuvrant dans la traçabilité minière, les sociétés minières et entités de traitement, société civile et médias locaux.
Les échanges ont tourné autour des causes de l’activisme des groupes armés dans et autour des sites miniers. Ces travaux ont abouti à une cartographie sommaire des sites miniers en proie aux conflits, leur nature, les principaux acteurs, leurs modes opératoires dans la chaine ainsi que les bénéficiaires finaux. Comme réponse à l’activisme des groupes armés à proximité des sites miniers, les participants ont suggeré l’opérationnalisation du DDR (Désarmement, Démobilisation et Réintégration) dans le Tanganyika et le Maniema et l’implémentation des initiatives de traçabilité des minerais, surtout pour l’Or.
Ces travaux ont été organisés pour appuyer les résolutions des assises de Nairobi 2 qui avaient recommandé que des consultations soient menées en vue de réformes dans la gestion du secteur minier, en raison des liens indissociables entre l’exploitation minière illicite, le trafic des ressources et le financement du terrorisme.