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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans plus de 100 pays. L’OIM est présente en République Démocratique du Congo depuis 1994.
À propos
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OIM Global
OIM Global
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable. En RDC, l'OIM gère une grande variété d’actions qui touchent à tous les aspects des mouvements migratoires et de la protection des migrants et des déplacés internes.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Priorités transversales (globales)
Priorités transversales (globales)
- Données et ressources
- Agir
- 2030 Agenda
“ AMANI NI NJIA YA MAENDELEO” : la Paix est la voie du Développement
Grâce au soutien de ses partenaires, l’OIM poursuit son intervention dans les trois piliers du projet de stabilisation Immediate Response Facility (IRF) à Mambasa en Ituri (Province Orientale).
Dans le Pilier Dialogue démocratique, l’OIM a mis en œuvre plusieurs sessions de dialogue communautaire communément appelé Barza et a effectué un suivi permanent des Comités Locaux d’Eveil (CLE).
Des réunions ont été organisées dans les cases des femmes à Mambasa, Banana, Badengaido et Nia-nia. L’objectif de ces séances a été de permettre aux femmes de déceler les situations qui entravent le retour de la paix dans leur localité. L’OIM a pris part à ces différentes rencontres afin de renforcer les équipes de terrain de ses partenaires locaux et encourager les communautés à promouvoir le dialogue.
Des séances de renforcement des capacités sur les techniques de collecte et de rapportage des données (quantitatives et qualitatives) ont été organisées pour le profit des équipes d’Action pour la Promotion de l’Entrepreneuriat au Congo (APEC) et du Réseau Hakina Amani (RHA) à Mambasa et Nia-Nia.
Des concertations ont également eu lieu sur la situation des pygmées et des problèmes liés aux violences sexuelles. Des séances de sensibilisation sur les thèmes de tracasseries administratives, policières, militaires et judiciaires ont été organisées.
À MAMBASA, EPULU, BADENGAIDO et NIA-NIA, l’OIM a organisé, par le biais de son partenaire APEC, des sessions de formation sur le leadership féminin pour renforcer les capacités des 84 membres des Comités Locaux de Paix. Ce programme de renforcement des capacités a permis aux membres des comités directeurs de modérer les séances de dialogue dans les 12 cases des femmes.
Pour le Pilier Restauration Autorité de l’Etat, une étude de faisabilité pour la construction de bâtiments sur le budget initialement alloué à la réhabilitation de la route a été faite. Les plans ont été validés en rapport avec l’architecte de la Police Nationale Congolaise (PNC).
Le re-ciblage des activités de la route vers la construction pour la police a nécessité l’approbation du bailleur Bureau des Nations Unies de soutien consolidation de la paix (PBSO).
Quant au Pilier Relance Economique, 150 femmes de la communauté, femmes des militaires et des policiers ont été sélectionnées pour faire parties des dix Activités Génératrices de Revenus (AGR) à créer. Ces coopératives mixtes devront contribuer au renforcement de la cohésion sociale.
Un suivi a été fait pour les 53 Mutuelles de Solidarité MUSO constituées ainsi que l’organisation de deux sessions de formation pour les cadres.
Les différents partenaires ont également identifiés 388 femmes sur les 600 devant bénéficier des AGR non agricoles.
Par ailleurs, les concertations communautaires effectuées ont fait ressortir l’intérêt et le souhait de la communauté pygmée de participer aux activités génératrices de revenus non agricoles.
Pour rappel, ce projet est financé par le Fonds pour la Consolidation de la Paix (PBF), l’un des premiers bailleurs de la Stratégie Internationale de Soutien à la Sécurité et à la Stabilisation (ISSSS).